Robin Pierrestiger
Né le 7 janvier 1973 à Tarascon.
Initié très tôt au monde des Arts notamment grâce à son père, Robert Pierrestiger, sculpteur de renom.
Robin l'accompagne dès son plus jeune âge et court les vernissages et les expositions.
Tandis que les amis écrivains, sculpteurs, peintres, plasticiens… défilent à la maison.
Adolescent, il débute la photographie. Son sujet de prédilection est l’architecture.
Amoureux des « belles choses », sa photo est avant tout une recherche esthétique afin de partager la beauté du monde.
Une quête du Beau qui lui sert d'échappatoire à un monde qui ne lui correspond pas vraiment.
Installé depuis six ans à Gillonnay, il a ouvert un studio photos où il propose ses services aux professionnels de la région.
Le projet "danseuses échappées" vise à photographier des danseuses autre part que sur une scène classique.
Il s'agit de réunir dans un décor décentré des plateaux de répétition des danseuses de tous horizons: classiques, cabaret, gymnastes, circassiennes, toutes ont pour point commun de s'affranchir des conventions en s'échappant du cadre de leur discipline.
Le cadre qui leur est offert comme contrainte, mais aussi comme espace d'évasion, est celui des portes de la Côte-Saint-André.
L'échappée n'est plus affaire de grandes traversées mais au contraire de repousser les limites, en ces lieux minuscules, quasi-familiers, ancrés dans le quotidien d'une petite ville, loin des projecteurs et des planches.
La danse comme moyen d'évasion prend tout son sens quand elle s'approprie l'espace public et les lieux familiers, et qu'elle devient accessible à la vue de tous. C'est là toute l'ambition du projet.
Il s'agit de réunir dans un décor décentré des plateaux de répétition des danseuses de tous horizons: classiques, cabaret, gymnastes, circassiennes, toutes ont pour point commun de s'affranchir des conventions en s'échappant du cadre de leur discipline.
Le cadre qui leur est offert comme contrainte, mais aussi comme espace d'évasion, est celui des portes de la Côte-Saint-André.
L'échappée n'est plus affaire de grandes traversées mais au contraire de repousser les limites, en ces lieux minuscules, quasi-familiers, ancrés dans le quotidien d'une petite ville, loin des projecteurs et des planches.
La danse comme moyen d'évasion prend tout son sens quand elle s'approprie l'espace public et les lieux familiers, et qu'elle devient accessible à la vue de tous. C'est là toute l'ambition du projet.
